Saturday, November 29, 2008

free associations

Sleepy :: Ichabod Crane
Thanksgiving :: turkey
Fifteen :: première
Bangs :: my baby shot me down
Curled :: up
Surprised :: not in a long time
Mistake :: and a big one

Handle it :: you're a big girl now
Spit it out :: or shut up
Shadow :: Rebecca
Database :: internet
Kate :: Moss
Boobies :: mine
Please stop :: annoying me

Sweet as :: can be
Mad about :: the boy
It’s over :: move on
Blame :: on me
Jefferson :: US president
Heartless :: trying to be
photo : b-e-c-k-y

Sunday, November 23, 2008

Mon beau sapin



Mon Beau Sapin : des BD pour la Croix Rouge !


Recommandé par des Influenceurs



et une fois que vous aurez lu la trépidante et hautement philosophique critique de film que j'ai écrite dans l'article suivant (et pour laquelle j'ai renoncé à repasser, on appréciera tous le sacrifice), cliquez sur l'image au-dessus pour un super effet deux-en-un !

Shopgirl

Il en va de certains films comme de Philippe de Plessis-Bellière : « il avait beaucoup moins de qualités qu’il ne semblait au premier abord mais, si on le connaissait, on découvrait qu’il possédait toutes ces qualités et plus encore » (et je remercie tous ceux qui n’ont jamais lu « Angélique Marquise des Anges » et ne comprendront donc pas la signification de cette référence, mais vont quand même lire la suite ce cet article).
Et c’est le cas de « Shop girl », que j’avais téléchargé un jour de coupure de réseau. Avec un titre pareil, je m’étais dit qu’il devait s’agir d’un quelconque film cliché où l’héroïne, sale gamine pourrie gâtée et shopping-addict de son état, vit des aventures éprouvantes avant de découvrir que dans la vie, y’a pas que l’argent qui compte (eh ben non, ma brave dame !). J’avais renoncé à le regarder le soir même en découvrant que 1) l’actrice principal est Claire Danes (plus éloignée de la hit girl écervelée, je connais pas trop, à part les actrices des films d’auteur français) et que 2) le film, au lieu de cliché et rose bonbon, avait surtout l’air déprimant et dépressif.

Mais souvent femme varie, et rien ne vaut des révisions de nanophysique pour me jeter dans les bras du premier film qui traîne dans mes dossiers, pourvu que je ne l’ai pas encore vu. Et bien m’en a pris puisqu’il y a longtemps que je n’avais pas vu un film qui m’avait autant (le dernier devant être « mon petit doigt m’a dit », pendant les vacances).
L’intrigue en elle-même n’a rien de passionnant : Mirabelle (Claire Danes donc) est une aspirante artiste qui regarde sa vie passer dans le rayon gants de Saks (d’où le titre, au cas où vous ne suivriez pas), en attendant quelque chose qui la fera renoncer à ses chemisiers de grand-mère et à ses antidépresseurs. Bref, Mirabelle attend le grand amour, « the man who will sweep [her] off [her] feet and hold [her] the right way ».
Là où le film devient réellement excellent, c’est quand on en arrive aux deux protagonistes mâles du film qui, malgré 30 ans d’écart, sont aussi lamentablement immatures l’un que l’autre. D’un côté nous avons Jérémy, vendeur d’amplis et graphiste à ses heures, qui va découvrir sa vocation en voyageant d’un bout à l’autre des Etats-Unis avec un groupe de musique et en écoutant des cassettes de self-help sur le thème « comment aimer les femmes ». De l’autre nous avons Ray Porter, 50 ans, riche divorcé et hypocondriaque chronique. Et entre les deux il y a donc Mirabelle, qui ne sait pas vraiment lequel choisir pour arriver à son happy ending. Ce qui aboutit à un enchaînement de situations à la fois mélancoliques et cocasses qui font tout le charme du film.

Je ne crois pas que le sujet principal du film soit réellement « Mirabelle finira-t-elle avec Ray ou Jérémy ? et découvrira-t-elle qu’il y a un étage entier consacré aux vêtements chez Saks ? ». C’est plus une réflexion (mais pas réellement, parce que je ne crois pas non plus qu’il y ait une véritable démarche derrière, c’est plutôt moi qui l’ai ressenti comme ça) sur les choix qu’on fait de se tenir à distance ou de se rapprocher de certaines personnes. On ne peut jamais réellement savoir quel choix est le bon. Aucun attachement n’est éternel, sauf peut-être l’amour fraternel – et encore. On ne peut pas en connaître la durée ou les limites tant qu’il n’a pas été mis à l’épreuve. On ne prend pas toujours la bonne décision au bon moment, mais l’important c’est simplement de savoir le reconnaître et de changer. Parce qu’à un moment on finit toujours par trouver un happy ending.

Friday, November 21, 2008

"I didn't know you were in this museum"

Parce qu'aujourd'hui c'est le 110ème anniversaire de la naissance de Magritte, que c'est un de mes peintres préférés mais que tout ce que je pourrais dire dessus est trop personnel pour être écrit ici et que j'ai envie de revoir "l'affaire Thomas Crown"

Thursday, November 20, 2008

on trouve de tout dans mes polys...

... et pas que des formules
Barbie pouffiasse et barbie rien du tout (un auto-portrait inconscient selon certains...)
La somme de tous mes talents en dessin ^^

JB me rappelle généreusement que la méca c'est mauvais pour la santé, mais qu'il reste encore 15 minutes de cours. Et aussi que c'est bientôt mon anniversaire, alors le lemming m'apporte un cadeau.



parce que c'est bientôt Noël et que le TRE n'est pas forcément fascinant...

Wednesday, November 19, 2008

Christmas incoming

A ce train de MAJ-là, on n'est pas prêt d'atteindre le 400ème post. Mais j'ai la flemme d'écrire un article sur The Duchess/le prix des écharpes/j'ai des nouveaux collants youpi (les articles cités étant tous en insistance de terminaison dans la catégorie "brouillon"), ou de manière plus générale un article plus consistant que "j'ai mangé des carottes aujourd'hui".
Sans compter que je dois aussi me pencher activement sur ma liste de Noël instament demandée par M/GM. Où est passée l'époque où on n'avait pas à s'en occuper, parce qu'on recevait toujours des Barbies et des Legos ? Barbie est botoxée et il y a longtemps qu'on n'a plus passé le 26 décembre à construire des maisons.

Pour le moment, les heureux chanceux sur ma liste sont :
- Joséphine, Pénélope Bagieu
- Miss Pas-Touche (les 3 tomes), Hubert/Kerascoët
- Les tortures de la mode, caroline de Surany
- les boucles d'oreille gouttes de Marie-Antoinette (sérieusement, il faut que j'arrête avec ces b.o. ; d'ailleurs je les ai jamais essayées, donc je ne sais absolument pas si elles sont si bien, et ensuite vu le prix je peux attendre longtemps...)
- à défaut un bijou Swarovski (à défaut, c'est déprimant comme qualificatif pour un bijou Swarovski) ; mais b.o. ou collier, telle est la question...
- la broderie encadrée de toute façon, puisqu'elle est déjà dans mon armoire
- des lunettes de soleil (mais là ça va râler sec du côté maternel comme grand-maternel, je sens ; et puis obtenir des lunettes comme je les veux vraiment...)

Pour les deux, c'est maigre. Mais j'avoue que je sèche complétement, sinon... c'est un comble, pour moi !

Sunday, November 16, 2008

coming soon

En théorie j'update dans la journée sur "the duchess" (en théorie parce que j'ai pas commencé à réviser la méca - hier je me suis endormie dessus).
En attendant, dans 16 posts (15 avec celui-là) j'écrirai le 400ème article du blog. Comme j'ai laissé passer le 100ème, 200ème, 300ème, je me disais que je pourrais peut-être faire un truc qui sort de l'ordinaire. Si quelqu'un à une idée, qu'il en fasse part.

Thursday, November 13, 2008

la vie sans * *'est fantastique

Ah bah on voit le niveau intellectuel !! je parle du mini-short de denise Richards, *a *on*erne "tous" mes le*teurs, mais alors Andromaque, elle peut *rever dans son *oin sans que *a intéresse personne !!
je vous ra*onterais que j'ai mal partout, qu'il faut absolument que je me ra*hète des soutien-gorges et que des fois j'en ai marre d'être dans une é*ole à dominante mas*uline, mais à la pla*e je vais faire des annales de C. Par*e que *'est plus drôle.

Tuesday, November 11, 2008

confiture d'Andromaque

Donc, j'ai envie de relire "Andromaque". Ou de le lire, plutôt, parce qu'à ma connaissance je l'ai encore jamais lu, mis à part un morceau du monologue qu'on avait appris en 5ème et dont je me souviens toujours :

"dois-je oublier Hector, privé de funérailles
et traîné sans honneur autour de nos murailles ?
Dois-je oublier son père, à mes pieds renversés,
Ensanglantant l'autel qu'il tenait embrassé ?
Songe, songe, Céphyse, à cette nuit cruelle,
Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle.
Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants,
Marchant à la lueur de nos palais brûlants.
Sur tous les corps morts se faisant un passage,
Et de son sang échauffant le carnage.
Peins-toi dans ces horreurs Andromaque éperdue."

à la réflexion c'était quand même assez macabre comme monologue à apprendre à des cinquièmes...
Est-ce que c'est "Andromaque" que t'avais eu à lire avant ton année de prépa ? parce que je me souviens qu'on avait lu du Racine en repassant, mais je sais plus si c'était "Andromaque" ou "Bérénice" ("que le jour commence et que le jour finisse/sans que Titus jamais ait revu Bérénice"). Par contre en faisant le crumble tout à l'heure je me suis souvenue que tu avais eu à lire "le partage de midi" de Claudel, aussi. Et qu'on avait pas réussi à dépasser la deuxième scène tellement on faisait de commentaires à côté, et tellement c'était chiant, aussi...
résumé : "Ce drame met aux prises quatre personnages : Ysé - seule femme - et trois hommes : de Ciz, son mari, Amalric, son amant, et Mesa, sa passion. Son sujet est la souffrance du jeune Mesa qu'une passion amoureuse destructrice reconduit paradoxalement à Dieu, après qu'une fausse vocation monastique l'en avait éloigné". ... ... ... ... .... ... ... ... ...
si quelqu'un est tenté, on l'a à la maison.
juste pour le plaisir :
PYLADE
Il faut partir, Seigneur. Sortons de ce palais,
Ou bien résolvons-nous de n'en sortir jamais.
Nos Grecs pour un moment en défendent la porte.
Tout le peuple assemblé nous poursuit à main forte.
Aux ordres d'Andromaque ici tout est soumis :
Ils la traitent en reine, et nous comme ennemis.
Andromaque elle-même, à Pyrrhus si rebelle,
Lui rend tous les devoirs d'une veuve fidèle,
Commande qu'on le venge, et peut-être sur nous
Veut venger Troie encore et son premier époux.
Allons. N'attendons pas que l'on nous environne :
Nos Grecs nous rejoindront ; et tandis qu'Hermione
Tient encore le peuple autour d'elle arrêté,
Voilà notre chemin, sortons en sûreté.
ORESTE
Non, non, c'est Hermione, amis, que je veux suivre.
A son dernier arrêt je ne puis plus survivre.
Partez : j'ai fait le crime, et je vais l'expier.
PYLADE
Hermione, Seigneur ? Il la faut oublier.
Quoi ! Toujours l'instrument et l'objet de sa rage,
Cherchez-vous chez les morts quelque nouvel outrage
Et parce qu'elle meurt, faut-il que vous mouriez ?
ORESTE
Elle meurt ? Dieux ! Qu'entends-je ?
PYLADE
Eh quoi ! Vous l'ignoriez ?
En rentrant dans ces lieux nous l'avons rencontrée
Qui courait vers le temple, inquiète, égarée.
Elle a trouvé Pyrrhus porté sur des soldats
Que son sang excitait à venger son trépas.
Sans doute à cet objet sa rage s'est émue.
Mais du haut de la porte enfin nous l'avons vue,
Un poignard à la main, sur Pyrrhus se courber,
Lever les yeux au ciel, se frapper et tomber.

Thursday, November 6, 2008

these boots are made for walking

bon, c'est officiel, il me faut des nouvelles bottes. Et peut-être une paire d'escarpins. Oh oui, des escarpins ! y'a super longtemps que j'en ai pas acheté. De toute façon, c'est un achat thérapeutique destiné à ma remonter le moral. Voyons... Je suis chez Clémentine à partir de vendredi soir, j'en repars lundi dns la journée, les boutiques seront fermées le lundi & mardi, j'ai partiel le vendredi donc pas jeudi (d'un autre côté c'est jamais que partiel de C)... Il va falloir que j'attende jusqu'à samedi ??? alors que je suis même pas sûre d'en trouver à ma convenance ??? En attendant cet heureux jour, j'ai fais un tour des bottes qui me plaisent, de la plus potentiellement achetable à la moins (considérations monétaires mises à part, bien sûr)



Minelli, 169€. plus classique y'a pas. Le modèle que je finirai sûrement par acheter, si j'en trouve une paire qui me va. Et si j'arrive pas à remettre la main sur celles que j'avais vu la dernière fois et qui sont trop belles : en daim noir avec un talon fin, mais pas hautes (elles doivent s'arrêter à mi-mollet en bouchonnant - quoiqu'en écrivant ça, je me demande si une botte à mi-mollet c'est une si bonne idée...)

Je les ai découvertes cette après-midi et je les trouve super belles : bottes Anne Demeulemeester, prix inconnu (de toute façon...) trouvées sur le blog Sea of shoes (qui est bien, même si une fille de 16 ans avec une armoire pareille, c'est quand même largement dysfonctionnel...). Elles sont fantastiques je trouve ; mais savoir si je les porterais...


Et mes préférés pour la fin : en cuir de vache rouge rebrodé à la amin, Hermès, 1450€. Le genre de bottes que, même si je les achetais, je les laisserais dans mon placard parce que j'assumerais trop pas de les porter... Au moins je peux pas me les payer, mon dilemne est réglé.

Tuesday, November 4, 2008

dream a little dream of me

S'il y a bien une chose que je déteste quand je me réveille, c'est ne pas arriver à me souvenir si mon rêve est réel ou pas. Et c'est vrai pour les bons comme pour les mauvais, même si je ne sais pas lesquels sont les pires au réveil.
Des fois c'est assez simple (mais douloureux quand même, faut pas croire) : non, je ne fais toujours pas 1m70 (c'est un exemple bidon, je rêve jamais ça en fait). Mais quand on est bien au chaud dans son lit, en train de se dire "oh, c'est trop bien scrouch scrouch", et que d'un coup paf, on se rappelle que non, non, c'est faux, la réalité c'est qu'il faut être en cours de méca dans 45 minutes, ça fait mal.
D'autre fois c'est plus dur à vérifier, parce que je ne peux décemment pas appeler ma soeur à 3h pour être sûre qu'elle m'a pas été récemment kidnappée par une dingue qui enchaîne ses couverts à la table.
Le pire étant encore quand mes rêves font référence à des rêves plus anciens que j'avais oublié. Contrairement aux séries américaines, il n'y a pas de "previously, in Camille's dream", donc quand je me réveille il me faut 30 bonnes minutes pour me rappeler que non, même si j'en ai rêvé deux fois à un mois d'intervalle, ça n'est jamais qu'un rêve.
Il y a aussi toutes les fois où je fais des choses en dormant, et que je ne m'en souviens pas le matin. Cette nuit j'ai plié mes chaussettes et je les ai rangés sur mon tabouret. Je serais complétement incapable de dire quand et pourquoi, et c'est plutôt perturbant... Mais bon, tant que ça ne m'envoie pas à la recherche de mon haut de pyjama en pleine nuit (ça m'est pas arrivé depuis longtemps,d 'ailleurs), je ne is pas trop me plaindre.